Description

Shinobi life, disponible pour l’échange, la vente, l’emprunt !

Alors que Beni pensait en avoir terminé avec ces histoires de différence sociale, voilà que son père y met du sien. Maintenant, il est une grande source de problèmes, et voilà qu’il essaie d’empêcher le rapprochement entre la jeune fille et Kagetora. Il rappelle à ce dernier sa place; en effet, celui-ci n’est que le garde du corps de Beni, il est hors de question qu’il représente davantage.
Un nouveau personnage fait son apparition: Rihito Iwatsuru. Celui-ci entretient des liens avec Hitaki, le ninja qui poursuit Kagetora, même à travers le temps. Voilà donc que les problèmes continuent, s’intensifient même, alors que l’amour entre les deux amants ne fait que grandir. Réussiront-ils à braver les interdits, et surpasser ces règles sans fondement?
« Pour toi, elle n’est en fait qu’un substitut à la princesse, non? »

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« Bien qu’il me suffise de tendre la main pour le toucher… Kagetora est loin… »

Voilà que Beni et Kagetora sont séparés lors de leur voyage dans le temps! On rencontre alors le Kagetora de quatorze ans, et le jeune Hitaki! Ce tome nous détache quelque peu de la relation que l’on connaît entre Kagetora et Beni. Il est rafraichissant, donne un peu de pêche. Les réactions des deux enfants sont drôles, surtout Hitaki! Mais ils restent néanmoins troublants. La fin du tome est consacrée au passé d’Hitaki, un passé triste et hanté par les esprits de son village. Voilà donc une toute autre vision de « Shinobi Life » ici, entrecoupée par les réflexions de Hitaki du présent, et Iwatsuru. Par contre, on remarquera que le Kagetora du présent est totalement absent. Il n’apparaît que dans les pensées de la jeune fille.
Malgré le changement de ce tome, dû au saut dans le temps, la lecture est tout de même moins agréable que dans les tomes précédents. L’héroïne est parfois presque agaçante dans son romantisme et son amour.
On peut tout de même ajouter que l’auteur réussit très bien à retranscrire les expressions de visage des personnages, et ses dessins sont toujours aussi soignés. Le dessin d’Hitaki surtout, qui illustre la première page du chapitre vingt quatre, est vraiment très bien réussi, ainsi que l’ambiance macabre qui règne dans son village d’enfance.

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